20 juillet 2007

Futile été


1. Dé-saper les idées 2. Foutre à poil les envies 3. Bien doser la futilité. 4. Oublier le blizzard qui lézarde mon gloss. 5. Mettre sous blister jusqu’au prochain oued. 6. Maquiller les angoisses 7. Les diluer dans mon bock. 8. Trinquer. 9. Dégager la mèche. 10. pianoter l'attente. 11. Recevoir sa bouche.

03 juillet 2007

La Gima j'aime !





Réédition d'une rhaaa-lovely-bike française des années 50. 125 cm3 c'est tout bon pour moi et mon simple permis B. Promis, dès que je l'ai, y aura photos avec moi dessus.


"Rappelons que GIMA est une marque, entièrement française, qui a eu son heure de gloire en son temps. GIMA : (Groupement Industriel Métallurgique et Automobile), 24 av. Pasteur à Chamaliere (Puy de Dôme) a fabriqué des motos de petite cylindrée de 1947 à 1954. Les moteurs qui équipaient ces motos étaient les fameux moteurs AMC, conçus à Clermont Ferrand. C’est avec un réel succès que ces machines ont participé à des courses de motos, remportant notamment le Bol d’or en 1949. Puis, ce fut le déclin, comme pour beaucoup d’autres marques françaises de l’époque, face à l’arrivée des scooters, puis de ce qui allait devenir le déferlement des motos japonaises. Rappelons que GIMA est une marque, entièrement française, qui a eu son heure de gloire en son temps. GIMA : (Groupement Industriel Métallurgique et Automobile), 24 av. Pasteur à Chamaliere (Puy de Dôme) a fabriqué des motos de petite cylindrée de 1947 à 1954. Les moteurs qui équipaient ces motos étaient les fameux moteurs AMC, conçus à Clermont Ferrand. C’est avec un réel succès que ces machines ont participé à des courses de motos, remportant notamment le Bol d’or en 1949. Puis, ce fut le déclin, comme pour beaucoup d’autres marques françaises de l’époque, face à l’arrivée des scooters, puis de ce qui allait devenir le déferlement des motos japonaises. "
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Sinon vous avez remarqué avec quelle époustouflante régularité je poste ? Un article par mois, rien qui dépasse. Ma vraie vie est juste inversement proportionnelle en terme d'occupation de temps. Je dirais même que je déborde et qu'après avoir franchi l'étape "projet" j'ai à présent du camboui jusqu'au cou. En fait je pourrai très prochainement enrichir le chapitre "On dirait le Sud" que j'avais laissé mûrir près d'un oued à Ouarzazate...