23 août 2011

Bonheur

Je me rappelle les murs de lierres qui faisaient des vagues verticales, les marteaux en bois d'une machine à roue qui hypnotisaient au hasard parmi la foule. Je me rappelle les fréquences, je me rappelle les mantras de pierre, les pendules et les cycles, où happée, je laissais le bruit derrière se fondre en une bouillie ronronnante. Les pressés passaient, les hypnotisés souriaient bêtement installés dans un cocon limpide. Heureux d'un bonheur sans enchères.

Aucun commentaire: