04 septembre 2007

Beurk

Je viens gerber dans une grande flaque grise mon besoin de rage, évacuer la pourriture de mes yeux, et la puanteur de mes "semblables", ramassis d'amis perdus de vue et revus à mon grand désespoir, monsieur et madame flanqués de leurs âmes charitables.
Certes ils donnent leurs fringues au secours populaire.
Il y a eu un schisme avec des pertes unilatérales, je m’en voudrais de leur lécher le cul pour remplir un agenda de merde avec une fête probable, un samedi soir prochain, ou bien un dimanche, pilules colorées difficile à cracher, qu’ils aillent se faire pendre par les intestins. Racisme primaire enturbanné de fioritures vertes pour faire beau au bout de trois phrases. Petits bourgeois pétrifiés dans votre pognon tranquille où avez-vous mis vos années de cerveaux, oubliées avec le premier torchage de junior ?

En même temps c’était drôle hein, du barbelé sur le sourire, avec un peu de chagrin pour les souvenirs. Il me reste à les chier ceux-là mais ça devrait aller.

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