24 mars 2006

Caprices de retour


J’exige que ce fax me dégueule des commandes.
J’exige que TOUTES mes pensées se démêlent là tout de suite.
J’exige qu’elles s’impriment clairement sur l’écran de mon égotisme sans l’aide de mes doigts.
Je veux les mettre au chaud entre ses cuisses.
Je veux du soleil à cinq. UN DEUX TROIS…
Je veux que la prochaine voiture qui passe soit rouge.
Je réclame le silence. Que ce ventilateur se taise. Que cette mouche meurt.
Je réclame un sursit, que le temps qui s’écoule se gèle et tombe en morceaux. Que rien qui ne se signe dans le dos ne soit irrémédiable.
J’aimerais retrouver mes boîtes de lego, l’horizon, l’inconscience.
J’aimerais crier sur le petit vieux d’à côté qui pue le chien mouillé.
Gnagnagnagnagnagnagnagna...

4 commentaires:

Anonyme a dit…

pied gauche?

Unknown a dit…

Ouhla, oui et puis aussi panne de café suivi de chaudière qui fait la grève le tout agrémenté d'un saut arrière triple salto d'une biscotte puis du chat un peu surpris qui finit pourchassé après avoir laissé des souvenirs sur la moquette... "genre". Arf !

Anonyme a dit…

à 200° la cuisson du chat pour cause de grippe aviaire...

Unknown a dit…

'Mérite que ça le poilu.